"Si tu étais Nkurunziza à cet instant, à part ces timides et hésitantes gifles de la communauté internationale, pourquoi négocierais-tu avec des opposants qui sont sagement assis et attendent tranquillement des sanctions qui n'auront d'effet que sur le long terme et dont l'impact peut durer les annees du mandat de trop?"
"Pourquoi oserais-tu te déplacer pour rencontrer sur la même table, des rebelles dont le champ de bataille préféré reste « Facebook et Twitter » ?"
"Pourquoi dialoguer avec une opposition qui juge que l’union de tous ces opposants est la condition sine qua none pour renverser la tendance, Comme quoi, sans ça , rien ne marche ? "
L'on sait tous que toutes les rébellions du monde commencent souvent divisées, parfois meme incapables, les dissensions en politique sont vieilles comme le monde, mais il suffit juste d’un leader agacé par le statut quo, une bonne chaine de commandement moins parlotante, un chef d’état-major stratège et sans pitié, et des hommes de troupes disciplinés pour jouer le jeu.
Et piaf, les autres rebelles rêveurs rejoindront plus tard…!
Ce n’est ni Museveni ni Kagamé, ni même Nkurunziza, qui me contrediraient.
Hélas, le seul défaut de la rébellion actuelle anti 3e mandat c’est qu’elle compte TROP, je dis bien TROP sur ces négociations qui tardent à venir, elles misent TROP sur l'aide de la communauté internationale, leurs actions dépendent TROP de tel communiqué, de telle visite, de tel tweet.
Tout le monde veut rester dans le « politiquement correct ».
Nul ne veut s’entacher face à un pouvoir qui ne rêve que de leurs disparitions simples!
Nul n’ignore que toutes les rebellions classique du monde entrent en véritable guerre, avec seule et unique conviction intime : « renverser les choses ou du moins saboter l’ennemi ».
Et les négociations interviennent généralement plus tard en cas de lutte qui ne se termine pas ou au cas ou le pouvoir sent le rapport de force changer.
Mais quand on parle de guerre, les uns disent « Ah tu vois on a connu trop de guerre, essayons cette fainéante diplomatie ! »
Et c’est là, que nkurunziza les nique, lui qui sait tres bien que sans cette guerre (le seul message qu’il comprend), les pacifiques rebelles eux, attendront patiemment, tweet a l’appui et stylo en mains, prêts pour une nouvelle déclaration!
Et donc, mes chers rebelles, tant que vous ne sentirez pas cette fameuse attitude suicidaire et cet esprit de dégout du statut quo monter dans vos veines, du style "Y en a Marre, peu importe ces foutues négociations!"
Sans ça , Apprenons alors à gentiment nous y faire jusqu'à ce que ton tour vienne et que tu sois la personne "batabariza" !
Alors que l'operation Kamwe Kamwe continue, nos vaillants rebelles, eux, se lancent dans leur jeu préférée:
"Kugabisha ! Gutera ivyatsi ! Bref, en gros "Ngwaho turaje...."
Et tout ca en hurlant et en lancant de passifs ultimatums sur Inzamba pour une possible négociation qui les aiderait a quitter cet exil.....
Akimuhana kaza Imvura ihise!
La liberté n'est jamais offerte, elle s'acquiert!
"Pourquoi oserais-tu te déplacer pour rencontrer sur la même table, des rebelles dont le champ de bataille préféré reste « Facebook et Twitter » ?"
"Pourquoi dialoguer avec une opposition qui juge que l’union de tous ces opposants est la condition sine qua none pour renverser la tendance, Comme quoi, sans ça , rien ne marche ? "
L'on sait tous que toutes les rébellions du monde commencent souvent divisées, parfois meme incapables, les dissensions en politique sont vieilles comme le monde, mais il suffit juste d’un leader agacé par le statut quo, une bonne chaine de commandement moins parlotante, un chef d’état-major stratège et sans pitié, et des hommes de troupes disciplinés pour jouer le jeu.
Et piaf, les autres rebelles rêveurs rejoindront plus tard…!
Ce n’est ni Museveni ni Kagamé, ni même Nkurunziza, qui me contrediraient.
Hélas, le seul défaut de la rébellion actuelle anti 3e mandat c’est qu’elle compte TROP, je dis bien TROP sur ces négociations qui tardent à venir, elles misent TROP sur l'aide de la communauté internationale, leurs actions dépendent TROP de tel communiqué, de telle visite, de tel tweet.
Tout le monde veut rester dans le « politiquement correct ».
Nul ne veut s’entacher face à un pouvoir qui ne rêve que de leurs disparitions simples!
Nul n’ignore que toutes les rebellions classique du monde entrent en véritable guerre, avec seule et unique conviction intime : « renverser les choses ou du moins saboter l’ennemi ».
Et les négociations interviennent généralement plus tard en cas de lutte qui ne se termine pas ou au cas ou le pouvoir sent le rapport de force changer.
Mais quand on parle de guerre, les uns disent « Ah tu vois on a connu trop de guerre, essayons cette fainéante diplomatie ! »
Et c’est là, que nkurunziza les nique, lui qui sait tres bien que sans cette guerre (le seul message qu’il comprend), les pacifiques rebelles eux, attendront patiemment, tweet a l’appui et stylo en mains, prêts pour une nouvelle déclaration!
Et donc, mes chers rebelles, tant que vous ne sentirez pas cette fameuse attitude suicidaire et cet esprit de dégout du statut quo monter dans vos veines, du style "Y en a Marre, peu importe ces foutues négociations!"
Sans ça , Apprenons alors à gentiment nous y faire jusqu'à ce que ton tour vienne et que tu sois la personne "batabariza" !
Alors que l'operation Kamwe Kamwe continue, nos vaillants rebelles, eux, se lancent dans leur jeu préférée:
"Kugabisha ! Gutera ivyatsi ! Bref, en gros "Ngwaho turaje...."
Et tout ca en hurlant et en lancant de passifs ultimatums sur Inzamba pour une possible négociation qui les aiderait a quitter cet exil.....
Akimuhana kaza Imvura ihise!
La liberté n'est jamais offerte, elle s'acquiert!
Ndavuga Simvura Murantunga !
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